New York City.... - Casino Montecito

Pour une des rares fois le directeur principal du DHSS, ne ce trouvais pas dans son habituel bureau de l’agence. Il se retrouvait à son deuxième bureau, s’il ne se retrouvait pas à l’agence, il se retrouvait au Montecito, s’il n’y était pas, vous avez une chance sur deux de le retrouver chez lui et même encore. Pour le moment, il se retrouvait dans ce vaste bureau vitré, ayant réglé toute la maintenance que cela demandait, même avec un mal de tête, qui lui revenais de temps en temps depuis la destruction du mur, posant son stylo sur le large bureau. Il devait gérer de plus en plus d’esprit. Tous semblais parler en même temps, il entendait de temps en temps son prénom, quelque murmure qui lui était adressé. Dire qu’il n’avait pas dormit depuis, s’il dormait cela durait de courte duré comme si on voulait qu’il ne dorme pas. Certain avait remarquer un petit changement chez lui, il avait a peine croisé sa lieutenante depuis. Cela lui faisait un peut étrange de se retrouver ici, cela changeait pour tout dire. Dégageant son bureau de toute paperasseries possible, afin de les posé dans un coin. Il en avait finit, plus vite qu’il ne le pensait au final, retirant ses lunettes, qu’il posa sur le bureau, rare les fois qu’il en portait, il en avais pas nécessairement besoin.

Prenant son verre vide entre ses mains pour l’observer lentement en silence, avant de se lever, avançant vers le mini bar dans un coin de la pièce. Prenant une bouteille de vodka blanche, versant la moitié du verre, prenant une gorgée en fermant les yeux, savourant ce petit instant de chaleurs qui descendait dans sa gorge. Il appréciait bien les alcools forts de temps en temps, elle n’avait pas un large effet sur lui, tout comme sur l’un de ses agents. Posant le verre sur la tablette du bar, il fouilla ses poches à la recherche de son paquet de cigarettes, qu’il trouva rapidement, en prenant une pour l’allumer tranquillement, avant de lancer le paquet sur la tablette. Reprenant en main le verre délaissé quelques minutes plus tôt. Reprenant une gorgé tranquillement, approchant la baie vitrée.

Observant le monde évoluez sous lui, ce fameux nouveau monde. New York était si vaste, ainsi que le monde qui y vivait. Assaillit, par divers pensé qu’il arrivai de peine et de misère a faire le tri. Savourant alcool et cigarette tranquillement en silence, pour essayer d’en oublier certaine pulsion dans sa tete. Ce retournant lentement a la venue de quelqu’un.

-Que me faut le plaisir, de cette visite?

La jeune femme entra dans ce vaste casino. Elle ne venait qu’en de rares occasions, mais en connaissait tous les recoins. Elle s’y était parfois promenée dans ces moments exceptionnels ou elle n’avait rien à faire. Elle n’aimait pas trop l’ambiance de tous ces êtres qui se faisait prendre à leurs propres jeux. Ils pensaient tous qu’il allait ressortir de cet endroit riche comme Crésus, mais ils ressortaient tous (sauf quelques rares heureux que la chance voulait leur faire un clin d’œil) plus pauvre qu’ils n’y étaient entrés. Elle croisa le regard d’un gardien de sécurité, habiller en civil, pour mieux se camoufler dans la foule. Elle lui accorda qu’un seul regard et se dirigea vers l’escalier qui menait la ou le personnel seulement était admis. Elle y avait le droit puisqu’elle était la lieutenante du propriétaire même de ce casino. Elle était aussi son bras droit, par le fait même.

Elle atteignit le haut de l’escalier, qu’elle venait de gravir comme elle seule le pouvait, c’est-à-dire avec élégance. Elle portait un simple complet blanc qui mettait sa fine taille en valeur. Elle avait les cheveux libres et aujourd’hui, elle était blonde comme Marilyn. Lorna avait ce petit… toc. Elle aimait bien tout ce qui touchait la mode et encore plus, changer sa couleur de cheveux, selon ses émotions. Elle ouvrit la porte en bois massif sans prendre la peine d’y cogner. Elle savait que Edward s’y trouvait. Il n’était pas au DHSS, c’était donc l’évidence même.

Elle le vit de dos, devant l’immense fenêtre qui surplombait New York et fit une petite pause. Elle savait qu’il verrait son reflet dans la glace de la vitre. Elle s’avança vers le bureau et s’y assoit, sans prendre la peine de regarder les chaises en cuire qui semblait plus confortable que le bureau. Elle croisa sa jambe gauche sur la droite pour se mettre à son aise. Elle observa Edward un court instant lorsqu’il s’adressa à elle. Elle retient un sourire en coin et dit, plus sérieusement.

— Je vous ai manqué….

Ce n’était pas une question, mais bien plus une évidence. Cela faisait des semaines qu’ils s’étaient croisés… Pourquoi ? Simple ! Boulot, boulot, boulot ! Mais elle était maintenant la, bien décider de prendre sa place en tant que lieutenante.

Le Montecito, refuge secondaire du grand patron. On le retrouvait la, quand on ne le trouvait pas. Travaillant tranquillement sans embuche, essayant de ce concentré sur la papasserie, que sur les nouvelles pensées. Quelque employer avaient passé avec quelque petit problèmes, cela fut rapidement réglée, cela n’avais pas été très complexe. Bien que la déco était encore a travailler, il aimait bien ce bureau secondaire. Il y avait encore quelque ajustement à faire, mais cela ne pressait pas. Le coté confort était parfait, il ne manquait qu’une pièce dans le meuble du lit escamotable, le matelas, il l’attendait pour le lendemain apparemment. Mais bon cela l’importait peut sur le moment, il ne ressentait pas trop le besoin de dormir. Ayant travaillé quelque heures avant de s’arrêter.

La baie vitré laissais place a la vitre de New York, dans toute sa splendeur, l’hôtel-casino, avait été placé stratégiquement, son bureau avait du soleil du matin au soir. Debout devant cette splendeur, le soleil, commençait lentement à ce coucher, laissant le bleu au couleur d’orangé. Fumant tranquillement, en survolant les pensé. Il ne commençait qu’à s’habituer depuis la chute du mur. Il les gérait plus ou moins mal, fumant/buvant tranquillement, un petit sourire en coin apparue sur ses lèvres en ressentant la présence de quelqu’un qu’il connaissait dans l’immeuble. Vêtue d’un complet noir, sa cravate l’avais quitté depuis longtemps, sa chemise blanche avais été défaite sur le premier bouton.

L’apercevant dans la fenêtre détournant le regard de la glace vitré, déposant son verre sur la tablette du bar rejoignant le carton de cigarette délaissé. L’observant tranquillement prendre place sur le bureau sans trop réagir, qu’il sentit la cigarette atteindre ses doigts, le sortant de sa léthargie. Éteignant lentement la cigarette. Ne fumant que rarement, signe qu’il était préoccupé par quelque chose. Approchant lentement les mains dans les poches. La dernière fois qu’il l’avait vue, elle avait les cheveux roux. En approchant, il ne pue s’empêcher de l’observé tranquillement en prenant place sur l’un des fauteuils de cuir que le bureau disposait, elle le surplombait largement assise sur le bureau.

-Vous n’avez pas tort..

Effectivement, qu’elle lui avait manqué ! Ces derniers évènements, lui avait demander bien plus de temps que prévue, depuis qu’il avait terminé ses papiers, qu’il avait décider de prendre un moment pour lui-même avant d’entrer a l’Agence, chose rare puisqu’il ne pensait qu’au travail.

[My my, ses laid ma reponse... Rappel a moi meme, ne plus repondre entre minuit et 2:00 du matin.. ]

Bien installer sur le bureau, elle se sentait à l’aise. Comme si la seule présence de son supérieur la rassurait. Elle remarqua la cigarette à sa main quand il se retourna, elle qui pensait que c’était un homme d’affaire ou autre qui avait été présent dans ce bureau qui avait emporté avec lui cette odeur immonde. Lorna n’avait vu qu’en de rares occasions Edward fumées. Elle ne dit rien, mais c’est yeux parlait d’eux-mêmes… « que se passe-t-il donc… ». Elle avait suivi du regard lorsqu’il avait déposé son verre d’alcool sur la tablette du bar. Sa main se posa délicatement sur le bureau, toucha le stylo délaissé depuis quelques minutes, regarda ce qu’elle venait de toucher et le prit. Elle s’amusa a le faire tourner doucement entre ses doigts. Son regard se retourna sur Edward lorsque ce dernier s’assoit sur l’un de ses fauteuils en cuir. Elle avait l’étrange impression de le dominer en ce moment, vu la hauteur du bureau. Mais cette impression fut chassée lorsqu’il lui répondit. À ce moment précis, elle sentit sa température corporelle montée de satisfaction.

— Ai-je déjà eu tort ?

Dit-elle avec un sourire en coin, elle plaisantait. Elle savait qu’elle n’était pas indispensable au DHSS, enfin, c’est ce qu’elle croyait. De toute façon, ne disait-on pas que tout le monde était remplaçable ? Elle sentait qu’il y avait quelque chose qui tricotait son patron. Le seul fait qu’il était dans ce casino-hôtel… et non dans son bureau où il vivait presque. Et puis, il ne portait pas de cravate, premier bouton de sa chemise défait. C’était bien des signes pour deviner que quelque chose clochait. Elle hésitait à aborder le sujet franchement. Elle décida de demander alors.

— S’est-il passé quelque chose de nouveau lors de mon absence ?

Oui, bon! Elle n’avait jamais été bonne pour être subtile. C’était peut-être un défaut ou une qualité, selon les circonstances. Elle se demanda si elle avait bien fait de travailler sans croisé Edward c'est dernières semaines, elle fut prise dans ces pensés un court moment.

Il en étais effectivement très rare de voir le PDG fumer. Cela n’arrivait qu’en de rare occasions. Signe que quelque chose le préoccupait et que cela le chicotait depuis déjà un bon moment, il avait beau mettre des agents la dessus, qu’il ressortait avec de rare réponse a ses questionnements. Délaissant son verre d’alcool sur la tablette, tout en ayant prit soin d’éteindre la cigarette. Déjà que l’établissement était non fumeur. Prenant place a l’un des fauteuil de cuir. Observant tranquillement sa lieutenante, elle était particulièrement resplendissante en blanc. Il contrastait en noir, le parfait contraire, l’écoutant doucement.

-Bien sur que non…

Répondant avec un petit sourire, bien heureux de la revoir, ce maudissant un peut en parallèle dans sa tête, de ne l’avoir croisé que peut depuis ces dernières événements. Elle avait due sentir des perturbations tout autour d’eux. Relevant le regard vers elle, lorsqu’elle lui posa la question franche.

-Le mur du monde des morts ou des esprits, es détruit…Les faisant revenir parmi nous… d’autre suivrons…

Parlant des murs, les quatre autres allait suivre, mais ignorait l’ordre dans lequel il allait tombé. Ce passant la main dans le visage, il ne savais plus ou donner de la tete.

Toujours jouant avec le stylo, Lorna resplendissait dans ce complet blanc pour femme. Elle avait toujours ce je-ne-sais-quoi qui attirait les regards des hommes. Elle avait toujours cette bouffée de chaleur désagréable lorsqu’il lui répondit. Elle pensa pendant une fraction de seconde « J’espère que je ne rougis pas ! ». Elle décroisa ses jambes et se leva du bureau. Abandonna par le fait même le stylo à son sort. Elle fit quelques pas vers la fenêtre… La nuit commençait à tomber. Les rues devenaient de plus en plus sombres à l’extérieur. C’était le moment qu’elle préférait parmi tous. Elle adorait les ombres que faisaient les lumières de cette ville… Elle se perda dans ce vaste monde jusqu’à ce que Edward réponde à sa question. Son front se plissa et se retourna vers son supérieur.

— .. Mais qu’est-ce ...

Elle laissa sa phrase en suspens. Des morceaux de puzzles se formaient dans son esprit. Après 1 ou peut-être 2 minutes de silence. Elle murmura qu’un seul nom.

— Danté…

C’était souffler, presque comme si elle n’osait le dire plus fort. Elle chercha le regard de Edward pour confirmer ce qu’elle venait d’énoncer. Et compris ce qu’elle venait de vivre comme semaine de travaille ne faisait que commencer.

Installé confortablement dans le fauteuil, ce laissant distraire quelque seconde en observant sa lieutenante. Ne pouvant s’empêcher de capter sa penser, avec un petit sourire en coin, celle-là, il l’avait entendue et clairement. Il aimait bien la voir rougir, pourtant il ne faisait pas exprès. Il était assis bien tranquillement en ne faisant rien de plus que de croiser les doits, après avoir passé la main dans le visage d’un air décourager. Lorsqu’elle ce leva, il la suivit du regard tranquillement en ajoutant rien, ce permettant de la détailler quelque secondes. Il pouvait bien ce le permettre après tout ce temps sans la voir. Lorsqu’elle ce retourna vers lui, il avait déjà son air innocent, mais continuait de l’observé.

- M’oui ?

La laissant dans ses pensé assembler le puzzle, détournant le regard devant lui, sur le bureau. Le relevant, lorsqu’il entendit le nom de son demi-frère en acquiesçant lentement en fermant les yeux en se callant dans le fauteuil.

-Effectivement… Qui cela pourrais être d’autre ?

Rouvrant les yeux sur la silhouette de Lorna. Ce demandant s'il devais la rejoindre ou non.

Toujours debout, près de la fenêtre, sa silhouette se découpait dans cette pénombre qui commençait à s’installer dans la pièce. Elle ignora que Edward avait clairement perçu sa pensée. Par chance ! Elle en serait morte de honte. Elle qui repoussait toujours ses sentiments pour quiconque. Elle avait, par contre, senti son regard sur elle lorsqu’elle lui faisait dos. Mais l’attention de Lorna fut détournée par la nouvelle du mur détruit. Et de tous ces êtres qui étaient maintenant libérés… Et bien sûr… Danté. Elle se souvenait du Danté d’avant… celui avec lequel, elle avait tant de discussion sur tout et sur rien… Avant. Maintenant, elle le croisait rarement. En faîte, elle était devenue plus solitaire avec les années. L’âge sans doute ! Elle avait croisé le regard approbateur de son supérieur lorsqu’elle souffla le prénom de Danté.

Lâchant un soupir, elle se passe la main dans ses longs cheveux blond et dit.

— Que cela signifie-t-il pour nous ? Devons-nous toujours passer des semaines à tout combattre ? Le mur détruit, c’est comme essayer de vider l’océan avec une cuillère.

Elle prit un petit air buté, presque sur le bord du découragement. Se demandant pendant un instant si tout ceci valait vraiment la peine. Elle se dirigea vers le bar, alluma au passage une lumière pour éclairer la pièce qui en avait grandement besoin maintenant. Prit une coupe en cristal et trouva une bouteille de vin blanc. Elle s’en servit et posa la bouteille sur le bord. Pas trop loin, au cas ou. Elle trempa ses lèvres dans le liquide froid qui lui fit un effet calmant. Immédiatement.

Edward, étais rester assied, sans trop bouger, tout en observant sa lieutenante qui se dessinais dans la pénombre, elle contrastait avec ses vêtements blancs. Lui, ce fondait dans la noirceur de la nuit et pouvais facilement ce faire oublier. Il lui avait déjà promit, qu’il ne lirait pas trop dans ses pensé, dirigeant ses pouvoirs sur les pensé des autres, mais ne pouvais pas s’empêcher d’aller percevoir quelque penser tout de même. La seule solution était d’ériger un mur, dans lequel, il allait devoir ce battre pour le percer, chose relativement facile, mais avec de la pratique et de la volonté on pouvais arrivé a le contourner, mais rare sont ceux qui en était capable, le seul avec qui il avais encore du mal, s’en était son frère, qui en était un vrai casse tête dans le plus complexe possible, il entretenais plusieurs puzzle en même temps.. L’observant toujours, il réfléchit durant un instant, jetant un regard dans le bureau avant de ce lever, immobile, laissant ses perceptions aller plus loin dans le casino, s’étendant dans les environs de celui-ci, il y avait tant à percevoir, tendant la main devant lui.

-Sur le moment, je l’ignore… Il me serrait impossible d’ériger un nouveau mur…

De sa main tendue le crayon délaisser un peut plus tôt, flotta entre le bureau et sa main, avant de tomber en roulant sur le parquet de l’autre coté, percevant un trop plein d’énergie/de présence d’un coup, comme si cela en faisait trop pour lui-même qu’il rompit le contact avec le crayon et les alentours en fermant les yeux quelque seconde pour ce re-concentrer sur l'étage de l'immeuble, laissant retomber sa main dans le vide. Durant qu’elle ce dirigeait vers le bar, il contourna le bureau pour ramasser le crayon, lorsque la lumière apparue qu’il se relevait tout juste. Déposant le crayon sur le bureau tranquillement en la rejoignant a la baie vitré, mains dans le dos, le regard vers la nuits pleine de mystère... .

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